Les difficultés scolaires rencontrées ponctuellement ou durablement par un·e élève peuvent avoir des origines très différentes : rythme des cours trop rapide, lacunes accumulées lors des années précédentes, manque d’intérêt pour la matière, …
Certain·e·s élèves sont même persuadé·e·s de ne pas y arriver dans une matière parce que leurs parents étaient nuls !
Pourtant aucune étude n’a montré qu’il existait un « gène de nullité en maths » par exemple.
Pour aider chaque élève à progresser, la première séance comporte toujours un bilan des compétences acquises et de celles qu’il faudra travailler pour atteindre le niveau exigé en classe. Le fait de montrer à l’élève qu’il sait déjà faire des choses est un premier pas pour lui redonner confiance. Ensuite en fonction de la personnalité et des difficultés de chacun·e, les notions fondamentales seront travaillées pour être comprises et automatisées, permettant alors d’aborder des notions plus difficiles.
La méthode Singapour
Afin d’accompagner mes élèves vers la réussite, je continue à me former et je m’inspire de méthodes qui fonctionnent, comme la méthode de Singapour. Il s’agit d’une façon d’enseigner les mathématiques en partant d’exemples concrets pour aller progressivement vers des images, puis vers l’abstraction.
Cette méthode a été élaborée et utilisée à Singapour, et depuis ce pays a vu ses élèves progresser de façon impressionnante !
Suivre la progression des cours particuliers
Chaque élève reçoit lors du premier cours particulier un cahier dans lequel il fera les exercices que nous travaillerons ensemble. Cela lui permettra, ainsi qu’à ses parents, de suivre sa progression et de revenir si besoin à des notions vues précédemment.
Le but final est que chaque élève devienne le plus autonome possible dans son travail.